Illustrations
Figure 1
Diagramme de flux.
Figure 1
Figure 2
Représentation schématique du dispositif avant et après ingression molaire. Les plans de surélévation englobent les premières prémolaires. En noir : aimant maxillaire ; en gris foncé : aimant mandibulaire ; en bleu : vecteur force induit au maxillaire ; en vert : vecteur force induit à la mandibule.
Figure 2
Figure 3
Effets de l’appareil magnétique de fermeture de l’infraclusion antérieure sur 40 patients après huit mois de port.
Haut A max : hauteur alvéolaire maxillaire ; Haut A mand : hauteur alvéolaire mandibulaire ; SNB : angle SNB ; angle G : angle goniaque ; OVB : recouvrement ; OVJ : surplomb ; rotation antérieure mand : rotation antihoraire de la mandibule.
Figure 3
Figure 4
Représentation schématique du dispositif décrit par Prasad, et al. [39] .
Figure 4
Figure 5
Représentation schématique du fonctionnement du dispositif magnétique. (A) En occlusion de classe II, les aimants de même pôle magnétique agissent en répulsion. (B) Illustration : flèche rouge = répulsion, flèche verte = attraction. (C) En occlusion de classe I, les aimants de pôle magnétique opposé agissent en attraction.
Figure 5
Figure 6
Effets cliniques du dispositif magnétique de correction de la classe II squelettique après huit mois de port par 34 patients.
SNA : angle SNA ; ANB : angle ANB ; Co-Gn : longueur condylien-gnathion ; M1 max : quantité de recul de la première molaire maxillaire ; M1 mand : quantité d’avancée de la première molaire mandibulaire ; I max : quantité de recul de l’incisive maxillaire ; OVJ : surplomb ; pg / Olp : longueur du corps mandibulaire.
Figure 6
Figure 7
Effets cliniques de l’appareil magnétique de correction de la classe III après 6,6 mois de port sur 36 enfants âgés en moyenne de 9,5 ans.
SNA : angle SNA ; ANB : angle ANB ; FMA : angle FMA ; M1 max : quantité d’avancée de la première molaire maxillaire ; M1 mand : quantité de recul de la première molaire mandibulaire : AoBo : longueur AoBo ; I max : quantité d’avancée de l’incisive maxillaire ; OVB : recouvrement ; OVJ : surplomb.
Figure 7
Figure 8
Représentation schématique du dispositif de correction de la classe III avec des aimants activés en attraction. En noir : l’aimant maxillaire ; en gris : l’aimant mandibulaire ; croix rouge : centre de résistance du maxillaire ; flèche bleue : vecteur force induit à l’arcade maxillaire ; flèche verte : vecteur force induit à l’arcade mandibulaire. (A) En occlusion, (B) en ouverture buccale.
Figure 8
Figure 9
Photographie du dispositif, modifié par rapport à celui décrit par Hahn, et al . (A) Sur moulage, (B) en bouche. Les aimants utilisés sont en néodyme-fer-bore, de forme cylindrique (7 mm × 3 mm), 1,32 Tesla (Neotexx, Allemagne). Fil préformé en acier multibrin 0.20 inch (PENTACAT WIRE® , Dentsply GAC).
Figure 9
Figure 10
Procédé de mise en place du MagneTainerTM . (A) Mise en place du composite de collage sur les aimants inclus dans le jig en résine. (B) Mise en place en bouche, la bandelette métallique en interdentaire permet de plaquer les aimants sur les surfaces dentaires. (C) Retrait de jig après polymérisation.
Figure 10
Figure 11
Situation initiale : 13 incluse et transposée sur la 12.
Figure 11
Figure 12
Après dégagement chirurgical, un aimant est collé sur la couronne de la 13.
Figure 12
Figure 13
Site opératoire suturé.
Figure 13
Figure 14
Second aimant, activé en attraction avec le premier, essayé en bouche puis fixé grâce à des fourreaux de Burstone.
Figure 14
Figure 15
Cas clinique : un aimant néodyme-fer-bore est directement scellé dans les racines d’une molaire maxillaire.
Figure 15
Figure 16
Le second aimant est scellé dans une plaque amovible en résine, espacé d’1 mm du premier aimant.
Figure 16
Figure 17
Autre cas clinique : 14 en situation infra-gingivale, un aimant sera scellé dans cette dent.
Figure 17
Figure 18
Le second aimant est inclus cette fois-ci directement dans le bridge provisoire en cantilever.
Figure 18
Figure 19
Situation finale, une fois l’égression réalisée.
Figure 19
Figure 20
Représentation schématique du dispositif de distalisation molaire. En jaune : pastille de Nance ; en noir : bagues scellées sur les premières molaires et sur les deuxièmes prémolaires ; en bleu et vert : aimants activés en répulsion ; en rouge : sectionnel permettant le glissement.
Figure 20
Figure 21
Effets cliniques du dispositif de distalisation molaire après six mois de port par 21 patients âgés en moyenne de 13,9 ans. M max : quantité de recul des molaires maxillaires ; Tip B M : tip back des molaires maxillaires ; Tip F PM2 : tip forward de la deuxième prémolaire ; PM2 max : quantité d’avancée de la deuxième prémolaire maxillaire (perte d’ancrage) ; I max : quantité d’avancée de l’incisive maxillaire ; VV̊ : vestibulo version de l’incisive maxillaire.
Figure 21
Figure 22
Représentation schématique du dispositif magnétique contre l’apnée du sommeil. Les aimants entrent en attraction en position de propulsion mandibulaire.
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Figure 23
Comparaison des effets cliniques à quatre semaines entre le disjoncteur magnétique et le disjoncteur à vérin sur 18 chiens Beagles mâles âgés de six mois (comparable à l’âge humain de 9 à 11 ans). Distance inter C : distance inter-canine ; vestibulo-version M : vestibulo-version molaire ; distance inter I : distance entre les implants posés au palais ; distance inter M : distance inter-molaire.
Figure 23
Figure 24
Illustration d’un cas d’effet iatrogène lors d’une traction canine à l’aide d’un dispositif aimanté. (A) Vue intra-buccale, (B) vue sur moulage.
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Figure 25
Lorsque la canine a fait son apparition dans le milieu buccal, on note un aspect très ulcéreux de la gencive périphérique.
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Tableaux
Auteurs
Département d’Orthopédie Dento-Faciale, Faculté d’Odontologie, rue Guillaume Paradin, 69372 Lyon cedex 08, France
Introduction Si la première publication sur l’utilisation des aimants en odontologie pour stabiliser des prothèses implanto-portées date de 1953, le développement clinique en orthodontie, sans avoir connu un réel essor, a augmenté depuis une dizaine d’années, parallèlement à l’amélioration du dispositif. L’objectif de cette revue de la littérature est de synthétiser les indications et les effets (dont les effets iatrogènes). Des cas originaux sont présentés.