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Contraception orale hormonale et cancers gynécologiques Volume 14, numéro 10, Décembre 2018

Auteurs
Société Française de Documentation et de Recherche en Médecine Générale
* Tirés à part

Même si les pratiques ont de plus en plus tendance à se diversifier, la pilule reste la première méthode contraceptive utilisée en France [1]. À côté d’effets bénéfiques hors contraception (régulation des dysménorrhées, amélioration de l’acné selon leur composition), les contraceptifs oraux (CO) ne sont pas sans risque. De nombreuses publications ont analysé le lien entre CO, risque thromboembolique veineux et risque cardiovasculaire. Sur le plus long terme, les CO peuvent-ils influer sur le risque de développement ou d’évolution de certains cancers, notamment les cancers du sein, de l’ovaire ou du col de l’utérus ?

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