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Virologie

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Varicelle et grossesse Volume 21, numéro 1, Janvier-Février 2017

Illustrations


  • Figure 1

  • Figure 2
Auteurs
1 AP-HP, Hôpital Paul-Brousse,
Groupe hospitalier universitaire Paris-Sud,
Virologie, Centre national de référence pour les infections rubéoleuses maternofœtales,
Université Paris-Sud, Inserm U1193,
94804 Villejuif,
France
2 Service de gynécologie obstétrique,
Hôpital Louis-Mourier, DHU risques et grossesse,
Hôpitaux universitaires Paris Nord Val-de-Seine,
AP-HP,
Université Paris-Diderot, 178, rue des Renouillers, 92701 Colombes cedex,
France
3 EA2493, UFR des sciences de la santé Simone Veil,
Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, 78180 Montigny-le-Bretonneux,
France

L’incidence de l’infection varicelleuse en cours de grossesse est relativement faible en France. Toutefois, bien qu’habituellement bénigne chez les enfants, la varicelle peut avoir des conséquences redoutables lorsqu’elle survient en cours de grossesse, à la fois pour la mère (en particulier en cas d’éruption au troisième trimestre de la grossesse), pour son fœtus (risque de syndrome de varicelle congénitale en cas d’infection maternelle avant 20 semaines d’aménorrhées), et/ou pour son nouveau-né (risque de varicelle congénitale néo-natale en cas d’infection maternelle dans le péri-partum). Différents outils diagnostiques, options préventives ou thérapeutiques concourent à la prise en charge de la varicelle gravidique.