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Hépato-Gastro & Oncologie Digestive

Hépato-Gastro & Oncologie Digestive

La revue francophone incontournable en hépato-gastroentérologie et oncologie digestive


Hépato-gastro & oncologie digestive (HGOD) qui couvre toutes les branches de la spécialité, s’est imposée auprès des spécialistes par son esprit didactique et novateur. Largement illustrée, elle est la revue de référence sur tous les aspects de la pathologie digestive.
Chaque mois, son contenu s’articule autour d’articles de qualités. Les mini-revues très documentées font le point sur les problématiques actuelles. Le dossier thématique FMC, véritable revue dans la revue propose une large synthèse autour d’un thème, au travers d'une revue bibliographique, d'un cas clinique pédagogique et de tests d’auto-évaluation.
Hépato-gastro & oncologie digestive est la revue officielle de FMC de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE), de la Société Française d'Endoscopie Digestive (SFED), de la Société Française d'Hépatologie (AFEF), de la Fédération Française de Cancérologie Digestive (FFCD) et du Club Français du Pancréas (CFP).

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Les rendez-vous en ligne

REPLAY de l’Atelier HGOD lors des JFHOD 2022



Avec le soutien institutionnel de   Galapagos

Contrôle précoce de l'inflammation dans les MICI



Avec le soutien institutionnel de   Janssen Immunology

MICI : interviews d'experts

La rédaction d’Hépato-Gastro et Oncologie Digestive vous présente trois présentations des Professeurs A. Amiot , Y. Bouhnik et M. Fumery concernant la stratégie thérapeutique des MICI. Les principaux points abordés sont les suivants :
Nous disposons maintenant de plusieurs familles de biothérapies ou biomodulateurs. Les anti TNF sont la première ligne de traitement dans la grande majorité des cas. La perte de leur efficacité est prévenue ou retardée par une optimisation des posologies sous contrôle des taux de résiduels.
Le dosage de la calprotectine fécale, un témoin de la cicatrisation muqueuse, est essentiel au contrôle de l’efficacité des traitements y compris en cas de désescalade thérapeutique.
Le traitement de seconde ligne doit être envisagé en cas de non-réponse ou de perte de réponse si le dosage résiduel de l’anti TNF est élévé. Les alternatives sont l’ustekinumab, le védolizumab ou un inhibiteur de la voie de transduction des JAK.
Il n’existe pas à l’heure actuelle de facteurs prédictifs de réponse et de tolérance à chaque biothérapie dans l’optique d’un véritable traitement personnalisé.
Je vous engage à regarder ces excellents exposés destinés à nos pratiques.

Dominique Lamarque



Avec le soutien institutionnel de   Janssen Immunology

Cancers colorectaux métastatiques : quelle prise en charge ?

Avec le soutien institutionnel de Bayer

GIST : vers une meilleure prise en charge

Avec le soutien institutionnel de Bayer

La maladie de Crohn iléale : quoi de neuf en 2018 ?

Avec le soutien institutionnel de Mayoly Spindler

Pour en finir avec l'helicobacter pylori chez l'adulte

Avec le soutien insitutionnel des laboratoires