Hépato-Gastro & Oncologie Digestive
MENUComment les acides biliaires ont réussi un come-back qui se ressentira bientôt sur nos ordonnances Volume 24, numéro 2, Février 2017
Illustrations
Hôpital Louis Mourier,
178 avenue des Renouillers,
92700 Colombes, France ; INSERM UMR 1149,
Equipe BADO : Physiologie et endocrinologie digestive,
Faculté de Médecine Paris 7 - Denis Diderot - Site Bichat,
16 rue Henri Huchard, 75890 Paris cedex 18,
France
178 avenue des Renouillers,
92700 Colombes, France ; INSERM UMR 1149,
Equipe BADO : Physiologie et endocrinologie digestive,
Faculté de Médecine Paris 7 - Denis Diderot - Site Bichat,
16 rue Henri Huchard, 75890 Paris cedex 18,
France
- DOI : 10.1684/hpg.2017.1406
- Page(s) : 206-9
- Année de parution : 2017
IntroductionAvant les années 2000, nous sortions de la faculté de médecine avec 3 « acquis pratiques » sur les acides biliaires : 1) ces molécules, issues du métabolisme du cholestérol, donnaient la diarrhée en cas de résection iléale, 2) étaient probablement responsables du prurit en cas de maladie cholestatique, et 3) un acide biliaire particulier issu de la bile d’ours, l’acide ursodésoxycholique, était le traitement de référence de ces mêmes maladies dont la cholangite biliaire primitive. Le [...]