Illustrations
Figure 1
Identification de séquences d’ADN d’HPV16 au niveau de l’ADN extrait de la tumeur. Extraction de l’ADN tumoral (Kit Macheray Nagel) puis PCR sur Taqman 7900 avec un mélange d’oligonucléotides (HPV16 + HPV 18 + HPV33) en présence de Sybr Green. Détermination du type HPV (16, 18 ou 33) par analyse de la courbe de fusion (courbe en cloche dont l’abscisse est le Tm du produit de la PCR). Tm HPV 16 = 78,2 ̊C.
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Figure 2
Imagerie initiale de la lésion primitive. A) IRM initiale. Plan sagittal. T1 EG 3D IV. B) Fusion des images de l’IRM et de la TEP FDG initiale. Hypermétabolisme intense de la lésion anorectale.
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Figure 3
Arc-thérapie modulée volumétrique, photons de 6 MV. Dosimétrie. A) Dosimétrie dans un plan axial. 1er temps : PTV 45 Gy. Isodose 45 Gy en rouge. Niveau lésionnel. Volumes cibles : canal anal ; région pararectale ; ganglions inguinaux superficiels et profonds. B) Dosimétrie dans un plan axial. 1er temps : PTV 45 Gy. Isodose 45 Gy en rouge. Niveau iliaque externe. Volumes cibles : ganglions inguinaux superficiels et profonds ; ganglions iliaques externes. C) Dosimétrie dans un plan axial. 1er temps : PTV 45 Gy. Isodose 45 Gy en rouge. Niveau iliaque moyen. Volumes cibles : ganglions iliaques moyens. D) Dosimétrie dans un plan axial. 1er temps : PTV 45 Gy. Isodose 45 Gy en rouge. Niveau iliaque primitif. Volumes cibles : ganglions iliaques primitifs. E) Dosimétrie dans un plan axial. 2e temps : PTV 63 Gy. Isodose 45 Gy en bleu plein ; Isodose 63 Gy en rouge plein. Niveau lésionnel. F) Dosimétrie dans un plan sagittal. 2e temps : PTV 63 Gy. Isodose 45 Gy en bleu plein ; Isodose 63 Gy en rouge plein. Niveau lésionnel. PTV = Planned Target Volume = volume de planification ou volume cible prévisionnel. Gy = Gray.
Figure 3
Figure 4
Arc-thérapie modulée volumétrique, photons de 6 MV. Histogramme dose-volume. Notez la verticalité presque parfaite de la courbe marron (flèche) correspondant au PTV 63 Gy (écart type : 0,625).
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Figure 5
TEP/FDG d’évaluation (2 mois après la fin du traitement par radiochimiothérapie). Réponse métabolique de la tumeur primitive au traitement par radiochimiothérapie. Comparaison des images de la TEP FDG avant (A) et 2 mois après la fin du traitement (B). Réponse métabolique satisfaisante objectivée par une réduction de 75 % de la valeur de la SUV max.
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Figure 6
TEP/FDG d’évaluation (2 mois après la fin du traitement par radio-chimiothérapie). Images MIP (Maximum Intensity Projection ) (A), de fusion TEP/TDM (B) et TDM (C) (coupes coronales). Apparition de foyers hypermétaboliques hépatiques, en correspondance d’hypodensités sur le scanner de repérage : une lésion du dôme (SUV max = 8,5) ; une lésion à cheval sur le lobe droit et sur le lobe gauche au niveau du dôme (SUV max = 13,9) et une lésion du segment VI (SUV max = 6,3). À noter la présence de zones hypométaboliques centrales, en particulier au niveau de la lésion du segment VI, vraisemblablement nécrotique.
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Figure 7
Histologie de la lésion suspecte du segment VI du foie. Ponction biopsie de la lésion suspecte du segment VI du foie sous contrôle TDM (A). Localisation hépatique d’un carcinome infiltrant peu différencié au sein d’un tissu fibreux (B) exprimant les cytokératines 5/6 en immunohistochimie (C) témoignant de sa différenciation épidermoïde.
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Auteurs
1 Institut Curie, département d’oncologie médicale, 26, rue d’Ulm. 75005 Paris, France
2 Institut Curie, département de pathologie, 26, rue d’Ulm, 75005 Paris, France
3 Institut Curie, département imagerie-médecine nucléaire. 26, rue d’Ulm. 75005 Paris, France
4 Institut Curie, département de radiothérapie, 35, rue Dailly, 92210 Saint-Cloud, France
5 Institut Curie, département d’oncologie médicale, 35, rue Dailly, 92210 Saint-Cloud, France
ObservationLa prise en charge de Monsieur X dans notre institution débute en novembre 2015 à la suite de la découverte au toucher rectal d’une lésion ulcéro-bourgeonnante du canal anal et du bas rectum dans un contexte de douleurs anales et de rectorragies. Il est âgé de 47 ans. Ses antécédents se résument à une affection méniscale du genou gauche opérée. Il ne prend pas de traitement de façon régulière. Les rectorragies évoluent depuis plusieurs mois. Elles ont été mises sur le compte d’une maladie [...]