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Éléments essentiels pour l’implantation à grande échelle de programmes d’intervention précoce pour premiers épisodes psychotiques en francophonie : l’exemple du Québec Volume 95, numéro 2, Février-Mars 2019

Tableaux

Auteurs
1 M.D., résident 4 en psychiatrie, Université de Montréal
Étudiant à la maîtrise en sciences biomédicales, Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal
2 M.D., M.Sc., FRCPC
Professeure titulaire, Département de psychiatrie et d’addictologie, Université de Montréal
Chef clinico-administratif et responsable de la recherche, Clinique des jeunes adultes psychotiques du Centre hospitalier de l’Université de Montréal
Chercheure, Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal
Présidente de l’Association québécoise des programmes pour premiers épisodes psychotiques
* Correspondance

L’intervention précoce pour la psychose n’est pas encore bien implantée dans les pays francophones. Plusieurs défis surgissent dans les processus d’implantation à grande échelle, dont la fidélité aux composantes essentielles du modèle déjà bien identifiées et appuyées sur des données scientifiques. À travers la francophonie, l’exemple de la province de Québec (Canada), permet de faire ressortir des pistes de solutions favorisant l’implantation des meilleures pratiques en intervention précoce. La collaboration entre l’Association québécoise des programmes pour premiers épisodes psychotiques (une communauté de pratique qui offre du mentorat et de la formation spécialisée continue – webinaires1, cours, conférences) en complémentarité avec le Centre national d’excellence en santé mentale, en plus des investissements gouvernementaux dédiés et la publication d’un cadre de référence national sont des facteurs clés de succès.

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