JLE

Hématologie

MENU

Que faire devant une anémie hémolytique sans étiologie identifiée ? Volume 25, numéro 2, Mars-Avril 2019

Figure 1

Proposition d’algorithme décisionnel devant une anémie hémolytique. HPN : hémoglobinurie paroxystique nocturne ; CP : Clostridium perfringens ; SHU : syndrome hémolytique et urémique ; PTT : purpura thrombopénique thrombotique ; RAC : rétrécissement aortique calcifié ; CIVD : coagulation intravasculaire disséminée ; G6PD : glucose-6-phosphate-déshydrogénase ; PK : pyruvate kinase ; P5’N : pyrimidine 5’ nucléotidase ; Hb : hémoglobine.

Figure 2

Cytologie sanguine, coloration de May-Grünwald-Giemsa (grossissement x 1 000). Rappel de quelques anomalies morphologiques érythrocytaires courantes (flèches). A : acanthocytes ; B : micro-sphérocytes ; C : corps de Heinz (coloration bleu de crésyl) ; D : pyknocytes ; E : hématies ponctuées ; F : schizocytes ; G : cellules cibles ; H : elliptocytes ; I : drépanocyte.

Figure 3

Cytologie sanguine, coloration de May-Grünwald-Giemsa (grossissement x 1 000). Parasites pouvant être à l’origine d’anémies hémolytiques (flèches). A : Plasmodium falciparum intra-érythrocytaire ; B : Babésia divergens intra-érythrocytaire ; C : Trypanosoma brucei gambiense ; D : Leishmania donovani intra-macrophagique.