JLE

Annales de Biologie Clinique

MENU

Lymphomes de l’immunodéprimé Volume 78, numéro 1, Janvier-Février 2020

Illustrations


  • Figure 1

  • Figure 2

Tableaux

Auteurs
1 Service de néphrologie, Centre hospitalier de Saintonge, Saintes, France
2 Service de médecine interne, Centre hospitalier de Royan, Vaux-sur-mer, France
3 Groupement de coopération sanitaire de Saintonge, Laboratoire inter-hospitalier de biologie médicale (centres hospitaliers de Saint Jean d’Angély, Saintes, Jonzac et Royan), Saint Jean d’Angély, France
* Correspondance

L’immunodépression est, par elle-même, un facteur de risque net pour le développement des pathologies lymphoïdes. La classification de ces néoplasies est de plus en plus précise et complexe, certaines particularités étant communes à tous les patients immunodéprimés, en premier lieu l’influence importante du virus d’Epstein-Barr. Quelle que soit l’origine de l’immunodépression, ces proliférations lymphoïdes sont très hétérogènes, constituant un large éventail entre aspects polymorphes d’allure réactionnelle et morphologies nettement lymphomateuses non distinguables de celles observées chez les sujets immunocompétents. Il est important de savoir détecter précisément ces différentes catégories de proliférations au sein de chaque groupe d’immunosuppression, permettant de mieux individualiser le pronostic et la prise en charge des patients.

Licence Cette œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International