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Annales de Biologie Clinique

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Démarche diagnostique devant une hyperéosinophilie en 2020 Volume 78, numéro 4, Juillet-Août 2020

Illustrations


  • Figure 1

  • Figure 2

  • Figure 3

Tableaux

Auteurs
1 Service de médecine interne, Centre hospitalier de Royan, Vaux-sur-Mer, France
2 Groupement de coopération sanitaire de Saintonge, Laboratoire inter-hospitalier de biologie médicale (Centres hospitaliers de Saint-Jean-d’Angély, Saintes, Royan et Jonzac), Saint-Jean-d’Angély, France
* Correspondance

La découverte d’une hyperéosinophilie supérieure à 1,5 G/L ne doit pas être considérée comme anodine, nécessitant une surveillance à la recherche d’une étiologie et d’éventuelles lésions organiques secondaires. Parmi ces dernières, la localisation cardiaque est la plus préoccupante, parfois indolente, devant être recherchée systématiquement par échographie et par résonance magnétique. Les potentielles étiologies sont très nombreuses, en grande majorité réactionnelles et corticosensibles, beaucoup plus rarement clonales en rapport avec une hémopathie maligne habituellement myéloïde chronique, parfois sensible aux inhibiteurs de tyrosines kinases.

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