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Revue de neuropsychologie

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Accumulation de fer dans le cerveau et déclin moteur et cognitif dans le vieillissement normal Volume 10, numéro 3, Juillet-Août-Septembre 2018

Figure 1

Structures du cerveau présentant une concentration élevée en fer. À titre comparatif, les deux méthodes IRM les plus utilisées sont montrées côte à côte : R2* à gauche (relaxométrie), QSM à droite (quantitative susceptibility mapping). Les images sont des images moyennes normalisées dans l’espace standard MNI à partir de 40 adultes sains jeunes et âgés. Ces données sont issues du protocole Iron, Aging Research Center, Stockholm, Suède [6]. Bien que les deux méthodes soient validées, on peut noter sur les images la supériorité de QSM dans la séparation entre les éléments paramagnétiques (tel que le fer, contraste clair) et les éléments diamagnétiques (par exemple la substance blanche composée de myéline, contraste sombre).

Figure 2

Concentration en fer dans les noyaux de la base chez (A) un sujet sain de 23 ans de sexe féminin et (B) un sujet sain de 79 ans de sexe féminin. Chez le sujet jeune, une concentration en fer plus élevée est observée dans le pallidum (contraste clair pointé par les flèches rouges), alors que chez le sujet âgé, la concentration en fer est nettement plus élevée dans le pallidum, le putamen et le noyau caudé. La méthode utilisée ici est la relaxométrie. Ces images sont issues du protocole IronAge, Aging Research Center, Stockholm, Suède.