Illustrations
Figure 1
Portrait de René Laënnec. Traité de l’auscultation médiate , Paris, 1819 [2] . Modèle de stéthoscope analogue à celui proposé par Laënnec. C’est un exemplaire de la version originale.
Figure 1
Figure 2
Stéthoscope Adscope [6] .
Figure 2
Figure 3
Stéthoscope électronique Androscope i-stethosMC et module d’enseignement Androscope [7, 8] .
Figure 3
Figure 4
Analyse de la courbe de réponse d’un stéthoscope Androscope i-stethosMC (données de M. R. Gass issues de la nouvelle baie de télé-phonométrie d’Alcatel-Lucent à Illkirch, France).
Figure 4
Figure 5
Cardio-phonogramme obtenu à l’aide d’un stéthoscope Welch Allyn et du système Biosignetics. Il permet de visualiser dans le temps les différents sons captés, B1, B2 et souffles cardiaques dans le cadre d’une auscultation cardiaque [10] .
Figure 5
Figure 6
Cardio-spectrogramme obtenu à l’aide d’un stéthoscope Welch Allyn et du système Biosignetics. Il permet de mettre en évidence l’énergie reliée aux différents sons captés, ici B1 et B2 dans le cadre d’une auscultation cardiaque [10] .
Figure 6
Figure 7
Stéthoscope électronique Cardionics modèle EMS avec casque HeartMan [11] .
Figure 7
Figure 8
Cardio-phonogramme et spectrogramme issus d’un signal cardiaque prélevé par un stéthoscope Cardiotonics, à l’aide d’un logiciel développé par Alcatel (démontré à Med-e-tel 2007). La courbe du haut est le spectrogramme du signal et la courbe du bas le cardio-phonogramme.
Figure 8
Figure 9
Stéthoscope électronique CADIscope [12] .
Figure 9
Figure 10
Système de collecte des sons développés par CareTone.
Figure 10
Figure 11
Aspect du stéthoscope électronique JABES Electronic Stethoscope [14, 15] .
Figure 11
Figure 12
Capture d’écran d’un cardio-phonogramme issu du JABES Life Sound System.
Figure 12
Figure 13
Analyse de la courbe de réponse d’un stéthoscope JABES, suivant ses 3 modes de collecte des sons auscultatoires (données de Mr R. Gass issues de la nouvelle baie de télé-phonométrie d’Alcatel-Lucent à Illkirch, France).
Figure 13
Figure 14
Stéthoscope électronique 3M Littmann Electronic Stethoscope Model 4100WS, avec visualisation du signal acoustique sous forme de cardio-phonogramme, dans un 2e temps, après transmission à un PC [16] .
Figure 14
Figure 15
Stéthoscope électronique RDSM I-scope 200 [17] .
Figure 15
Figure 16
Système de capture des sons, développé par Stethographics, sous forme de coussin équipé de microphones permettant de capter simultanément les sons pulmonaires ou cardiaques, en différents points sur la face postérieure du thorax [20] .
Figure 16
Figure 17
Cardio-phonogramme issu du logiciel Stethographics [20] .
Figure 17
Figure 18
Représentation en 3 dimensions de crépitants par le système Stethographics, ce qui permet de localiser un foyer de condensation, ici de pneumonie [20] .
Figure 18
Figure 19
Stéthoscope de chez Thinklabs avec son logiciel de visualisation [21] .
Figure 19
Figure 20
Stéthoscope TR-1/EF de RNK products, Inc. [23] .
Figure 20
Figure 21
Stéthoscope l’Elite™ Electronic Stethoscope de Welch Allyn avec le logiciel de visualisation des sons sous forme de cardio-phonogramme, ce dernier étant synchronisé avec un signal ECG [24] .
Figure 21
Figure 22
Stéthoscope WISE LIFE W10 [25] .
Figure 22
Figure 23
Système Zargis Acoustics Cardioscan avec la visualisation du signal sous forme de cardio-phonogramme et cardio-spectrogramme [26] .
Figure 23
Figure 24
Prototypes de stéthoscopes électroniques développés par la Société Alcatel-Lucent (données de M. R. Gass) [5] .
Figure 24
Figure 25
Courbe de réponse des prototypes de stéthoscope électronique développés par Alcatel-Lucent (données de Mr R. Gass issues de la nouvelle baie de télé-phonométrie d’Alcatel-Lucent à Illkirch, France).
Figure 25
Figure 26
Représentation d’un cycle respiratoire chez un sujet ayant une bronchopneumopathie chronique obstructive avec des phases d’inspiration, d’expiration et de repos sous forme d’un pneumo-phonogramme (a) et d’un spectrogramme (b). Présence de nombreux gros crépitants surtout visibles sur le spectrogramme (b) (indiqués par les flèches blanches) (figure issue du projet de recherche ASAP [équipes du Professeur E. Andrès pour le CHRU de Strasbourg et de R. Gass pour Alcatel-Lucent], convention ANR n̊ 2006 TLOG 21 04).
Figure 26
Figure 27
Prototypes de stéthoscope électronique développés dans le cadre de projets collaboratifs incluant Alcatel-Lucent par la Société US Battelle.
Figure 27
Figure 28
Stéthoscope électronique 3M Littmann 3200.
Figure 28
Auteurs
1 CHRU de Strasbourg, clinique médicale B, service de médecine interne, diabète et maladies métaboliques, 1 porte de l’Hôpital, 67091 Strasbourg Cedex, France
2 Université de Strasbourg (UdS), Faculté de Médecine, laboratoire de recherche en pédagogie des sciences de la santé, Strasbourg, France
3 Chercheur indépendant, membre distingué de l’Académie Technique Alcatel Lucent, Bolsenheim, France
4 CHRU de Strasbourg, CIC, service de cardiologie, Strasbourg, France
Depuis l’invention du stéthoscope et la description de la sémiologie auscultatoire par le Docteur Laennec, ces derniers ont peu évolué. Toutefois, des progrès ont été réalisés ces dernières années tant dans le perfectionnement des outils d’écoute, avec la mise à disposition de stéthoscopes électroniques, que dans l’analyse et la description des signaux auscultatoires, faisant espérer un regain d’intérêt pour la sémiologie auscultatoire. Depuis quelques années, la sémiologie auscultatoire et le stéthoscope sont ainsi entrés dans le XXIe siècle avec la mise la mise au point de stéthoscopes électroniques communicants et parfois « intelligents ». Dans ce cadre, il nous a donc paru intéressant de réaliser un état de l’art sur cette thématique, avec une analyse des données de la littérature et d’Internet.