[1]Légifrance. LOI n̊ 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000446240&categorieLien=id.
[2]Légifrance. LOI n̊ 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000031970253&categorieLien=id.
[3]Bismuth M., Angelo M., Escourrou B. La place du médecin et de la famille dans la décision pour des patients en fin de vie. Médecine. 2018;14. 3
[4]Anaes-SFAP. L’accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs proches. Conférence de consensus. Janvier 2004.
[5]Fournier V., Berthiau D., Kempf E., d’hausse J. Quelle utilité des directives anticipées pour les médecins ? Presse Med. 2013;42:e159-e169. 6P1
[6]HAS. Les directives anticipées. Document destiné aux professionnels de santé et du secteur médico-social et social. Avril 2016.
[7]Légifrance. Code de la santé publique. Article L 1111-6 modifié par ordonnance n̊ 2018-20 du 17 janvier 2018.
[8]Guyon G, Garbacz L, Baumann A, et al. Personne de confiance et directives anticipées : défaut d’information et de mise en œuvre. Rev Med Interne 2013 ; 35 (10) : 643-648. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2013.10.331.