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Médecin traitant, patient dément et conduite automobile : une relation pleine d’embûches Volume 9, numéro 5, Mai 2013

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Comment, en tant que médecin traitant, prendre des décisions justifiées et irréprochables à propos des problèmes liés à la conduite automobile de nos patients atteints de démence ?

Le nombre de personnes souffrant de démence était estimé en France en 2010 à 800 000 (2 millions en 2050 ?). Lorsqu’ils conduisent, ils sont dangereux (2 à 7 fois plus d’accidents que dans la population générale, selon les études).

Qui propose cet atelier ? Max Budowski, Elisabeth Rousselot-Marche (FORMUNOF)

Que vont faire les participants ?
• Ils auront à élaborer des réponses aux demandes de la famille d’un patient dément pour lui interdire la conduite automobile, à prendre connaissance des droits et devoirs du médecin traitant envers un patient dont le diagnostic de démence vient d’être porté, qui désire toujours conduire (responsabilités juridiques réglementaires, limites éthiques et déontologiques) et des tests spécifiques aidant à prendre une décision. Ils auront à rédiger en conclusion une fiche d’information, en fonction des réponses obtenues à leurs interrogations et leurs expériences, avec l’aide d’un médecin du permis de conduire et/ou d’un neurologue.