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Le généraliste et les Sourds Deuxième partie : dépistage et prise en charge Volume 5, numéro 10, Décembre 2009

Auteurs
Département de médecine générale, Université Jacques Lisfranc, Saint-Étienne

Il ne peut y avoir de parti pris positif en faveur de l'idéologie du dépistage en général. Les médecins de santé publique décrivent très bien les critères qui le rendent licite sur le plan individuel, social et éthique. La maladie, le groupe à risque, les délais doivent être identifiés, les valeurs prédictives positives et négatives calculées, un traitement et une prise en charge validés disponibles [1]. Le dépistage de la surdité doit répondre à ces règles. Dans cette seconde partie de l'article, nous envisageons les aspects ORL et psychoéducatifs que pose la découverte d'une surdité chez l'enfant.