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Hématologie

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Pertinence de la maladie résiduelle dans la prise en charge de la leucémie lymphoïde chronique : données récentes et rôle des associations Volume 25, supplément 2, Juin 2019

Auteur
Hématologie clinique, hôpital Robert Debré, CHU Reims, université Reims Champagne-Ardenne, France
* Tirés à part

Si l’analyse de la maladie résiduelle minime (MRD) était communément acceptée comme un marqueur de substitution de la survie sans progression (SSP) à l’ère de l’immunochimiothérapie (ICT) dans la leucémie lymphoïde chronique, l’avènement des inhibiteurs de kinase tels que l’ibrutinib et l’idélalisib a initialement remis en cause son intérêt. Plus récemment, le développement du vénétoclax, premier inhibiteur de bcl2, ainsi que la perspective de nouvelles combinaisons (ICT + thérapies ciblées ou totalement chemo-free) ont remis sur le devant de la scène l’intérêt de l’analyse de la MRD, non seulement pour évaluer l’efficacité de ces associations, mais peut-être également pour guider la stratégie thérapeutique.

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