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Annales de Biologie Clinique

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Intérêt du dosage des chaînes légères libres dans le cadre de gammapathies monoclonales, autres hémopathies malignes et maladies auto-immunes Volume 77, numéro 4, Juillet-Août 2019

Illustrations


  • Figure 1

  • Figure 2

Tableaux

Auteurs
1 Département d’immunologie et d’hématologie, Hôpital Bichat-Claude Bernard, AP-HP, Paris, France
2 Service d’immuno-hématologie, Hôpital Saint-Louis, AP-HP, Paris, France.
3 Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris-Cité, Paris, France
4 Inserm U1148, Paris, France
5 Inserm U1149, Paris, France
* Correspondance

Les chaînes légères des immunoglobulines sont qualifiées de libres lorsqu’elles ne sont pas liées à des chaînes lourdes pour former une immunoglobuline entière. La quantification de ces chaînes légères libres dans le sérum est recommandée par la Haute autorité de santé pour le diagnostic et le suivi du myélome multiple à chaînes légères, pauci- ou non sécrétant et de l’amylose AL. Plus récemment, l’Organisation mondiale de la santé a inclus ce dosage dans les critères pronostiques des gammapathies monoclonales de signification indéterminée. Cependant, la littérature met en évidence de plus en plus d’indications potentielles à ce dosage au cours des gammapathies monoclonales mais aussi des hémopathies malignes telles que les hémopathies lymphoïdes, et certaines pathologies auto-immunes telles que le diabète, la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé, la sclérose en plaques ou encore le syndrome de Gougerot-Sjögren.

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