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L'asymétrie non chirurgicale à prédominance verticale peut avoir une origine locale évidente, par exemple, une atteinte nerveuse unilatérale.

Mais le plus souvent, il n'y a pas d'étiologie évidente. Fréquemment, le dérapage occlusal d'une dysmorphie antéro-postérieure ou verticale sévère, à la limite de la chirurgie, est la cause suspectée. Dans ces cas, le diagnostic est toujours posé tardivement, lors de l'achèvement de la croissance.

Le traitement appelle des moyens mécaniques asymétriques lourds et, quelquefois, des extractions panachées unilatérales. L'occlusion post-thérapeutique peut être instable ; c'est pourquoi des finitions très soignées s'imposent. Les cas cliniques présentés illustrent ces conceptions développées par les auteurs.

AU - Jacques Faure AU - Pascal Baron AU - Jean-François Milheau AU - Jacques Treil AU - Christian Gardes DO - 10.1051/orthodfr/200273281 EP - 299 IS - 3 JO - L'Orthodontie Française PY - 2002/09/01 SN - 1966-5202 SP - 281 TI - Asymétries non-chirurgicales à prédominance verticale VL - 73 ER -