Hématologie
MENULe séquençage de nouvelle génération (NGS) a-t-il déjà sa place dans nos laboratoires d’oncohématologie ? Volume 19, numéro 2, Mars-Avril 2013
Illustrations
Alice Marceau-Renaut, Aline Renneville, Olivier Nibourel, Olivia Jardin-Mathé, Christophe Demay, Céline Villenet, Sandrine Geffroy, Nathalie Helevaut, Sabine Quief, Chadi Saad, Nathalie Grardel, Aurélie Caillault, Nicolas Duployez, Thomas Boyer, Christophe Roumier, Frédéric Leprêtre, Meyling Cheok, Nicole Porchet, Martin Figeac, Claude Preudhomme
Laboratoire d’hématologie cellulaire,
centre de biologie-pathologie,
CHRU Lille, Unité Inserm 837 équipe 3,
Institut de recherche sur le cancer de Lille, Plateforme génomique fonctionnelle et structurale,
Institut de recherche sur le cancer de Lille, Laboratoire de biochimie,
centre de biologie-pathologie,
CHRU Lille
- Mots-clés : NGS, reséquençage, leucémies, mutations, bio-informatique
- DOI : 10.1684/hma.2013.0792
- Page(s) : 112-22
- Année de parution : 2013
Le séquençage de nouvelle génération (NGS) représente un véritable saut technologique. Si les premières applications ont surtout été axées sur le séquençage de génome entier dans le but d’identifier de nouvelles mutations géniques, il fait aujourd’hui son apparition dans les laboratoires hospitaliers avec essentiellement des approches de reséquençage ciblé. En oncohématologie, les applications hospitalières sont en cours de transfert avec de nombreux avantages mais également certaines contraintes. L’objectif de cette revue est de faire un état des lieux du NGS dans notre discipline en ce début d’année 2013.